Exercices – Chap 09 – Dipôle RL
ex 6 p 167
1)
schéma
2) a) uL = r.i + L.di/dt b) di/dt = 0 ; uL = r.i
3) uG = uR + uL ; E = R.i + r.i + L.di/dt
4) a) en régime
permanent,
E = ( R + r ).I ;
I = E / (R + r)
b) I = 6,0 / (7 + 43) = 0,12 A
ex 7 p 167
a) schéma
b) La courbe de la
voie B visualise uR , or uR=R.i
i varie donc de la même façon que uR.
c) u(τ) =
0,63.uR max = 0,63 x 4 = 2,5 V
D'après le graphique, τ = 0,2 ms
ex 8 p 168
U = 4,5 V ; L = 0,5 H ; r = 0,5 Ω ; R = 45 Ω
a) U = R.i + L.di/dt + r.i ; en régime permanent, U = (R + r).I ; I = U/ (R + r) = 4,5/(45 + 0,5) ∣ 0,1 A
b) EL = L.I2 = 0,5 x 0,5 x 0,12 = 2,5.10-3 J
ex 9 p 168
a) τ = L / R b) [τ] = [L / R] = [L]/ [R] = [U/(di/dt)] / [U / I] = ( [T].[U]/[i] ) / ([U]/[i]) = T
τ a bien la dimension d'un temps.
ex 10 p 168 E = 6,0 V
1)
τ3= 5ms ; τ4= 3,5ms ; τ2= 8ms ; τ1= 16ms
2) τ = L / R
3)
a) graphique
b) τ
est donc proportionnel à 1/R
τ
= k . 1/ R ;
4) k = 0,02 / 0,025 = 0,8 ;
τ = 0,8 / R
5) L = k = 0,8 H
ex 11 p 168
1)
schéma
2) 0 = uL + uR'
3) uR' = R'.i
; uL = r.i + L.di/dt
;
0 = R'.i + r.i + L.di/dt
4) a) di/dt =.a.e b t ; 0 =R.(c+a.e b t)+L.b.a.e b t
⇒0 =R.c ; c = 0 et R.a+L.b.a = 0 ; b = -R/ L
A t = 0s, i = E / R = a
b) i = E.R e –R.t / L
ex 12 p 168
1)
schéma
2) E = uL + uR'
3) uL = L.di/dt +R.i ; uR'= R'.i ; E = L.di/dt + r.i (1)
4)
a) i = c + a.eb.t di/dt
= b.a.eb.t
(1) E = L.b.a.eb.t + r.(c
+ a.eb.t)
Il faut : E = r.c et L.b.a + r.a =
0
c = E / r et b = - r / L
b) à t = 0s , i = 0 = c + a ; a = - c = - E / r
c) i = ( 1 – e– r.t / L
).E / r
d) e – r.t / L tend vers 0 lorsque t est très grand, i tend vers
E / r
ex 13 p 168
a) La tangente à l'origine intercepte l'asymptote au temps τ = 7,5 ms
b) τ = L/ R ; L= τ.R = 7.10-3 x 150 = 1,1 H
c)
R' = 2 R ; τ' = L / R' = L / 2R = τ / 2.
La pente de la tangente à l'origine est donc 2 fois plus forte.
d)
L' = 2 L ; τ' =
2 L / R = 2 τ
.
La pente de la tangente à l'origine est donc 2 fois plus faible.
ex 14 p 169
a) schéma
b) uL = L.di/dt
c) uL = L.(E/ R).(-R/ L).e –R.t / L = - E.e – R.t / L
ex 15 p 169
a) D'après le graphique, la tangente à l'origine intercepte l'asymptote à τ = 6,5 ms
b) τ = L / R ; R = L / τ = 1,1 / 6,5.10-3 = 169 Ω
c) E' = 8,0 V. (tangente à l'origine identique )
ex 16 p 169
1) La bobine s'oppose à l'établissement du courant dans sa branche. Le courant arrive donc plus vite dans la lampe L1 car il n'y a pas de bobine dans cette branche.
2)
a) L'ensemble lampe L1 - résistance R et le générateur sont
branchée en parallèle : U = UL1,R
U = uL1 + uR = (R + r ) . i1
L'ensemble lampe L2 - bobine et le générateur sont branchée en
parallèle : U = UL2, L, R
U = uL2 + uL, R = (R + r).i2 + L.di2/dt
b) En régime permanent, i1 et i2 sont constants. di2/dt
= 0 ; U = (R + r) . i1 = (R + r) . i2 ⇒ i1 = i2
c) On peut vérifier expérimentalement l'égalité i1 = i2
, en observant les ampoules ou plus précisément en branchant en série des
ampèremètres devant chaque lampe pour mesurer i1 et i2
ex 18 p 170
a)
A l'établissement du courant, uR = E.(1- e-t/ τ),
à la rupture , uR= E.e-t/ τ.
La courbe correspond donc à la rupture du courant.
b)
A l'établissement du courant, uL = E.e-t/ τ,
à la rupture, uL= -E.e-t/ τ.Dans les
2 cas,∣uL∣= E.e- t/ τ
L'élève ne peut pas conclure car la courbe a la même allure dans les 2 cas
c)
ATTENTION, il y a une erreur d'énoncé, les valeurs de E ne correspondent
pas aux courbes
Pour déterminer la valeur de E, il faut lire la valeur maximale de la tension.
Pour les courbes 1,4 et 5, E = 10 V et pour la courbe 3, E = 5 V
Pour L et R, il faut déterminer graphiquement τ et le comparer aux valeurs
de τ,
calculer avec les valeurs données de L et R.
Cas |
A |
B |
C |
D |
L / R (en s) |
5,5.10-3 |
2,75.10-3 |
5,5.10-3 |
3,5.10-3 |
On trace la tangente à l'origine et la droite asymptotique qui se croisent à t = τ.
Pour la courbe 1, on trouve τ ≈ 5,5 ms . Il s'agit donc du cas A.
Pour la courbe 3, on trouve τ ≈ ms . Il s'agit donc du cas …
Pour la courbe 4, on trouve τ ≈ ms . Il s'agit
donc du cas .
Pour la courbe 5, on trouve τ ≈ ms . Il s'agit donc du cas
ex 19 p 171
a) En basculant l'interrupteur sur la position 1,le courant s'établit,c'est la courbe 2 qui correspond à une augmentation de l'intensité i.
b) En basculant l'interrupteur sur la position 2, il y a rupture de courant, c'est la courbe 1 qui correspond à une diminution de l'intensité i.
c)
τ est la durée au bout de laquelle l'intensité a atteint 63 % de
sa valeur maximale.
i = E/R (1 - e – t / τ) , à
t = τ
, i = E/R.(1 - e-1) , 1 - e-1 = 0,63 = 63 %
d) Lorsqu'on bascule l'interrupteur K sur la position 2, l'intensité est maximale à t = 0s, puis elle diminue et tend vers 0. Seule la dernière proposition ( i = E/R e- t / τ ) correspond à cela.
e) uL
= r.i + L.di/dt , en courant continu, di/dt = 0 , uL = r.i.
La bobine est équivalente à un conducteur ohmique.
ex 20 p 171
1)
a) uBM = L.di/dt b)
Le courant i et la tension uAM sont de même sens, on a : uBM
= - R.i
c) uBM = L.d(-uAM/R)/dt = - L/R duAM/dt
d) Sur une demi-période, uAM est une droite de coefficient directeur
a, duAM/dt = a = constante.
uBM = -L.a/R = constante. Quand a est positif, uBM est
négative et inversement.
La forme de l'oscillogramme est donc une tension créneau, constante sur une
demi-période.
2) aucune division sur les graphiques, impossible à faire !!!
ex 21 p 172 E = 10 V , L = 1,0 H , r = 10 Ω
a) En régime permanent, di/dt = 0 , E = r.I0 , I0 = E / r = 10 / 10 = 1 A. Cette valeur d'intensité est grande pour un tel circuit, c'est dangereux.
b)
Si on néglige la résistance interne de la bobine, E = uK+uL
,
uK = E – L.Δi/Δt = 10 – 1 x 1 / 10.10-3 = - 90 V
c) C'est une grande tension qui explique l'étincelle produite à l'interrupteur.
d) Grâce à cette dérivation, la bobine peut transférer l'énergie emmagasinée dans la résistance, d'où l'appellation "diode de roue libre".
ex 22 p 172 i = E/R (1 – e- t / τ )
1) Si t → ∞, e- t / τ →0 , i → E / R. L'asymptote a donc pour équation i = E / R
2) di/dt = E/R.e- t / τ / τ = E/L.e- t / τ . La pente de la tangente à i à t = t0 est E/L e- to / τ
3)
a) à t = 0 s, (di/dt)0 = E/L
b) équation de la tangent : i(t) = E.t / L
c) La tangente à l'origine coupe l'asymptote lorsque E.t / L = E / R ⇒ t = L / R = τ
ex 23 p 172
1)
a) E = R'.i + L.di/dt + R.i = (R'+R).i + L.di/dt i = a + b.e- t / τ ; di/dt
= -b/τ
e- t / τ
E = (R'+R).(a+b.e- t / τ ) – L.b/τ .e-
t / τ ⇒
E = (R'+R).a et (R'+R).b – L.b/τ = 0
a = E / (R'+R) et τ = L
/ (R'+R) , i = E / (R'+R) + b.e – t / τ , à t = 0 s, i = 0 = E / (R'+R) + b
b = - E / (R'+R) ⇒
i = E / (R'+R) ( 1 – e- t / τ ) avec τ = L / (R'+R)
b) imax = E / (R'+R) ,
i / imax = 1 – e- t1 / τ = 0,99 ⇒ e- t1 / τ = 0,01 ⇒ t1 / τ = ln 1/0,01
t1 = τ.
ln 100 = 4,6 τ. A cette valeur, on considère que i a atteint
sa valeur maximale, que le régime permanent est atteint.
2)
0 = (R'+R).i + L.di/dt ; 0
= (R'+R).(a+b.e- t / τ ) – L.b/τ .e-
t / τ
⇒ 0 = (R'+R).a et (R'+R).b
– L.b/τ = 0 ⇒ a = 0 et τ = L / (R'+R) , i
= b.e – t / τ
à t = 0 s, i = E / (R'+R) = b ⇒ i = E/(R'+R) e- t / τ
avec τ = L / (R'+R)
3)
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